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Mardi 28 mai 19H30 Boycottons la flamme !

Dans le cadre des journées “contre-olympiques”
initiées par Solidaires 49,
les Soulèvements de la Terre Angers et le Cercle 49
vous proposent un temps récréatif, poétique, musical et révolté
le MARDI 28 MAI, jour du passage de la flamme à Angers.
Retrouvons-nous à 19H30
dans l’espace du jardin François Mitterand (campus St-Serge)

pour un voyage au pays de celles et ceux
qui résistent à l’envahisseur olympique !
Vive le sport, à bas le score !” (Albert Jacquard)

À Aubervilliers, un village résiste encore et toujours
à l’envahisseur olympique…
Nous vous conterons son histoire.
MARDI 28 MAI 19H30
Jardin François Mitterand (campus Saint-Serge)

Ce mardi 28 mai, ne perdez pas votre temps
à courir après la flamme, viendez nous écouter !
Apportez vos pliants,
et un petit kekchose à boire ou à grignoter.

(en cas d’épisode pluvieux ou policier, nous aviserons ensemble…)

Aide aux jeunes exilé.e.s Recherchons bénévoles !

Le Cercle 49 relaie et soutient
cet appel de l’association Asile et Partage
qui vient en aide aux jeunes exilé.e.s :

Notre école alternative dans le quartier de La Roseraie a ouvert ses portes il y a maintenant presque un mois.
Les jeunes bénéficient chaque lundi, mardi et jeudi après-midi de cours de français et de maths, grâce aux bénévoles déjà présent.e.s pour le projet.
L’ambiance est chaleureuse et studieuse. Tout le monde est content de se retrouver, de partager et d’apprendre les uns des autres.
Afin de pouvoir assurer les cours sur chaque créneau (de 13 à 15h et de 15 à 17h) sur ces 3 jours, nous cherchons à agrandir l’équipe de bénévoles. Nul besoin d’être professeur.e, la motivation et l’envie suffiront !
N’hésitez pas à nous écrire et à partager ce post autour de vous.
A bientôt !

L’équipe de l’école alternative
CONTACT : asileetpartage@gmail.com

Vendredi 3 mai 19H Pensons la paix…

Le Comité départemental du Mouvement de la Paix
nous invite à un café-débat
VENDREDI 3 MAI À 19 HEURES
AU CAFÉ LE COIN DU FLEUVE

Place de l’église – LE THOUREIL

STOP A LA GUERRE… QUI VEUT LA PAIX , PRÉPARE LA PAIX !

Les PEUPLES en Europe et partout dans le monde doivent s’unir pour apporter leur soutien aux PEUPLES Russe, Ukrainien, Palestinien, Israélien, Soudanais… un fort pourcentage désire la Paix et demande : STOP à la guerre pour empêcher que ne se déclenche le pire des scénarios, à savoir l’éclatement d’une guerre totale au cœur de l’Europe.
Les Peuples doivent se lever dans l’action unie et sur la base de leur aspiration commune à vivre dans la solidarité, la justice, la fraternité et la Paix pour dire que la guerre est toujours un échec.
La guerre ne conduit qu’au chaos et enfante toujours des monstruosités dont sont victimes les populations civiles. Il est encore temps d’arrêter l’engrenage militaire…. à condition que Nous, les PEUPLES , conscients de notre force fassions prévaloir le respect de la Charte des Nations Unies, en particulier le principe de souveraineté et d’intégrité territoriale, à travers des mobilisations énormes…
Soyons vigilants pour que tous les conflits ne se règlent pas désormais de cette façon !
STOP à la guerre et à la militarisation !
Exiger des solutions négociées,
Comment préparez la Paix ?
Que pouvons-nous faire ?….
L’économie de guerre est au détriment de la sécurité humaine, de la justice sociale, de la justice environnementale.
D’accord, pas d’accord,
Autant de questions que nous vous invitons à débattre avec le comité départemental du Mouvement de la paix ce vendredi 3 mai.

1er mai, c’est dans la rue qu’ça se passe…

MERCREDI 1er MAI :
Rendez-vous place Imbach

devant la Bourse du Travail à 10h30.

Appel de l’Intersyndicale du Maine-et-Loire :
Le 1er mai, journée internationale des travailleurs et travailleuses, va se tenir dans un contexte marqué par les guerres terriblement meurtrières, notamment en Ukraine et en Palestine. Nos organisations réaffirment leur engagement pour une paix juste et durable dans le cadre du droit international, qui ne peut se faire aux conditions de l’agresseur.
En France, les travailleur·euses sont sous la menace d’un nouveau plan d’austérité. Pour multiplier les cadeaux aux entreprises, ce qui aggrave les inégalités sociales, le gouvernement annonce faire des milliards d’économies sur les politiques sociales et les services publics, la transition écologique ou en faisant les poches des chômeurs et chômeuses, de celles et ceux qui sont malades, ou encore en s’attaquant une nouvelle fois au Code du travail. Loin de “désmicardiser” le pays, il poursuit sa politique au service des plus riches en distribuant de l’argent public aux entreprises privées, notamment les plus grosses, sous forme d’exonérations de cotisations sociales : plus les salaires sont bas, plus les aides publiques sont conséquentes, ce qui encourage les directions d’entreprises à maintenir des millions de salarié·es avec des fiches de paie proches du SMIC. A l’image du SMIC, il faut a minima indexer les salaires, pensions et le point d’indice sur les prix. Il y a urgence d’augmenter les salaires et les retraites.
La précarité et la pauvreté gagnent du terrain, en particulier chez les étudiant·es : un·e sur deux travaille pour financer ses études, deux étudiant·es sur trois sautent régulièrement des repas et plus de trois
étudiant·es sur dix renoncent à des soins faute d’argent. Un·e sur deux est mal logé·e. Un.e étudiant.e sur 5 ne mange pas à sa faim. Il faut augmenter les minima sociaux, les bourses d’études et réformer en urgence ce système d’aide pour que chacun·e puisse étudier dans des conditions dignes.
Nos organisations appellent à s’opposer aux politiques d’austérité en France comme en Europe. Alors que des profits records sont enregistrés, il faut sortir du choix délétère que l’on nous impose. Pour une Europe sociale et des peuples : ni dépendance à la finance, ni poison de l’extrême-droite, pire ennemi des travailleurs et travailleuses ! Nos organisations militent pour le renforcement de la protection sociale et s’opposent aux projets de contre-réformes qui réduisent les droits et conquis des travailleurs et travailleuses.
Elles dénoncent les attaques aux libertés collectives et individuelles, notamment contre les bourses du travail et le droit de manifester, les libertés syndicales mais aussi les entraves à la liberté d’expression, par exemple sous-couvert des lois anti-terroristes.
Le 1er mai doit aussi être le prolongement des mobilisations du 8 mars pour l’égalité réelle alors que les femmes sont moins payées et plus souvent en situation de précarité.
Nos organisations appellent les travailleuses et travailleurs, les jeunes, étudiant·es et retraité·es, à manifester partout en France le 1er mai contre l’austérité, pour l’emploi, les salaires, les services publics, la protection sociale, les libertés et la paix juste et durable dans le monde.
Le 4 avril 2024

Mardi 23 avril 18 heures L’état hors-la-loi !

Mardi 23 avril,
la LDH49 et d’autres organisations
nous invitent à une conférence-débat
dans la salle Pelloutier de la Bourse du travail
à partir de 18 heures.

Dans la continuité des soirées organisées le 30 mai 2023 et le 29 juin 2023, sur les atteintes à la démocratie, la LDH Angers, l’Observatoire Angevin des Libertés Publiques (OALP), le groupe 100 Amnesty International, ATTAC 49, le Mouvement de la Paix, la CGT et leurs partenaires accueillent Maître Arié ALIMI, avocat, membre du bureau national de la Ligue des droits de l’Homme.

Arié Alimi s’est spécialisé notamment dans les affaires de violences policières. Il a été l’avocat, entre autres, de la famille de Rémi Fraisse, de Geneviève Legay, d’une vingtaine de Gilets jaunes dont Jérôme Rodrigues, de la famille de Cédric Chouviat, du lanceur d’alerte et policier Amar Benmohamed.
Il est l’auteur de l’essai « Le Coup d’état d’urgence » et du livre « L’État hors-la-loi – Logiques des violences policières ».

Conférence publique – entrée gratuite

Programme de la soirée – salle Pelloutier (accès par la rue du Cornet) :

  • Accueil à partir de 18h00 – buffet – séance de dédicaces 
  • Conférence et débat avec la salle de 18h30 à 20h30
  • Buffet et dédicace

Jeudi 18 avril Soirée antifasciste

L’extrême droite progresse partout dans le monde. Quand ce ne sont pas des partis directement issus de cette sphère politique qui accèdent au pouvoir, ce sont leurs idées qui pullulent. On ne compte plus les attaques contre les droits des étrangers·ères, contre les femmes et les minorités de genre, etc.
Partout où elle accède au pouvoir, que ce soit à l’échelle d’un pays, d’une région, d’une ville, l’extrême droite montre son vrai visage : celui de l’ennemi le plus acharné de celles et ceux qui luttent pour une société égalitaire et émancipatrice, débarrassée de toute forme d’exploitation et d’oppression.
Nous sommes de celles et ceux qui luttent chaque jour, pied à pied, contre l’extrême droite et ses idées.
Nous sommes de celles et ceux qui pensent qu’il y a urgence à se mobiliser pour enrayer sa progression dans les urnes, dans les lois, comme dans les esprits.
Nous sommes de celles et ceux qui pensent que seules des luttes sociales victorieuses, massives et populaires, feront reculer l’extrême droite.
Nous sommes de celles et ceux qui pensent que la lutte est importante, mais que la fête ne l’est pas moins, que notre joie fera reculer leurs idées nauséabondes.
Si vous vous interrogez sur la place qu’occupe l’extrême droite dans notre société, si vous vous demandez comment y faire face, rejoignez-nous le 18 avril pour réfléchir, agir et faire la fête, contre l’extrême droite, tant qu’il le faudra.

Tribune publiée sur le Réseau Angevin Antifasciste :
Alors que nous travaillions à son organisation depuis plusieurs mois avec les services du Qu4tre, la présidence de l’Université d’Angers a décidé d’interdire un évènement prévu le 18 avril prochain.
L’administration de l’Université se cache derrière des arguments techniques : plan Vigipirate, manque de vigiles pour tenir une telle soirée, manque d’une convention.
La réalité sur ce discours de pure forme, tenu indirectement en refusant de nous recevoir, c’est que le plan Vigipirate c’est tous les jours. Cela ne gène aucunement l’Université pour organiser des soirées-débats où même l’extrême-droite est présente ; des fêtes et soirées à grande échelle sans plus de vigiles pour protéger des attaques de djihadistes. Le manque de convention : que nenni, nous étions dans les temps impartis par les services de l’Université.Nous avions même la capacité de protéger le lieu par notre propre sécurité et allions même au-delà des demandes en mettant en place une vigilance des violences sexistes et sexuelles en milieu festif.
Nous sommes persuadé.es que cette annulation fait suite à la campagne lancée sur les réseaux sociaux par l’extrême droite, la Cocarde et l’UNI en tête. Campagne reprise par la députée Les Républicains Anne-Laure Blin.
Une conférence, menée par l’historienne et universitaire Ludivine Bantigny est donc annulée par l’Université d’Angers, tout comme des concerts et expositions artistiques.
Que penser de cette annulation, surtout dans une université dont la maison des sciences humaines porte le nom de Germaine Tillon, scientifique et résistante qui s’est battue contre le fascisme en son temps ?
Quel message envoyé à ces groupuscules d’extrême droite qui, d’un simple tweet et d’une pétition en ligne foireuse, obtiennent satisfaction ?
Quel symbole renvoyé alors même qu’il y a quelques mois des universitaires ont été menacées sur les réseaux sociaux et sur des tags, par l’extrême droite ?
Comment considérer que l’Université est encore un lieu d’échanges et de débats où vit la démocratie?

Nos organisations s’interrogent sur les véritables raisons qui ont poussé l’Université d’Angers à annuler un évènement. Surtout que celui-ci devait se tenir deux jours après un débat entre les représentant.es des différentes listes pour les élections européennes. Certain.es auraient donc le droit de parler politique et d’autres pas ?
Nous nous inquiétons aussi vis à vis de l’équipe du Qu4tre, et de toutes les autres personnes impliquées dans la vie culturelle du monde universitaire angevin. Quel avenir pour la programmation si quelques rodomontades de l’extrême droite suffisent à faire plier la Présidence ? Quel message envoyé au monde étudiant, si des universitaires sont obligé.es de fuir les lieux de l’Université d’Angers pour pouvoir tenir une conférence sans froisser l’extrême droite locale, si des expos et concerts peuvent se voir annuler sur simple requête de partis groupusculaires sur Twitter ?
Nous ne cesserons cependant pas de nous battre et nous ne nous tairons pas face à l’extrême droite et ses intimidations, ni face à celles et ceux qui, par leur silence, leur donnent raison.
La conférence de Ludivine Bantigny se tiendra donc à la bourse du travail jeudi 18 avril à partir de 18h. Et nous nous organisons pour tenir au plus vite le reste de la fête.
L’inter-organisation antifasciste angevine est composée de différentes associations et collectifs* qui ont décidé de se regrouper ensemble pour lutter contre l’extrême droite et la diffusion de ses idées.
*Le Planning familial 49, l’Union syndicale Solidaires 49, SUD Collectivités Territoriales 49, les Collages Féministes d’Angers, le Réseau Angevin Antifasciste, l’Union Communiste Libertaire Angers, le Réseaux d’Entraide Ravitaillement Alimentaire Autonome,  Action Antifasciste Angevine, le Collectif Lucioles.

Mercredi 10 avril 18H30 D’où vient la terreur ?

Lundi 8 avril, 17 personnes ont été arrêtées, dont certain·es par la SDAT (police anti-terroriste). Ils et elles sont suspecté.es de participation à la campagne d’action contre le béton en décembre dernier.
Les comités locaux du 49 ont participé activement et de façon pacifique à cette campagne pour dénoncer les ravages de l’industrie du béton. Rassemblons-nous pour soutenir nos camarades de luttes !
Halte à la criminalisation des actions militantes !

Rendez-vous mercredi 10 avril place du Ralliement à 18h30.

Ce lundi 8 avril, 17 personnes ont été arrêtées en Normandie et Ile de France dans une opération menée par la Sous-Direction-Anti-Terroriste. Une partie d’entre elles a été emmenée dans les locaux de Levallois-Perret et pourrait y rester 96 heures.
Ces arrestations font suite à la campagne d’actions contre Lafarge et le monde du béton initiée par plus de 200 organisations écologistes, syndicales, luttes locales contre l’artificialisation des terres et comités locaux des Soulèvements de la terre. Cette campagne avait mobilisé des milliers de personnes et abouti du 9 au 12 décembre 2023 à une cinquantaine d’actions simultanées. Des occupations, blocages, happenings, rassemblements, désarmements sur des dizaines de sites Lafarge et autres centrales à béton sont survenus majoritairement en France mais aussi en Suisse, en Belgique ou en Allemagne. Un soutien fort avait été marqué à cette occasion aux personnes mises en cause, elles aussi par l’anti-terrorisme, dans le désarmement de l’usine Lafarge Bouc-Bel-Air près de Marseille.
La vague d’arrestations d’aujourd’hui vise l’intervention, durant une dizaine de minutes, d’une centaine de personnes sur un site Lafarge à Val-de-Reuil avec de la peinture et de la mousse expansive. La police anti-terroriste était intervenue sur les lieux sous prétexte d’une soi-disant « séquestration » expresse d’un agent de sécurité. Ce storytelling répressif s’était rapidement dégonflé par la suite (communiqué publié sur l’action : https://journeescontrelebeton.noblogs.org/mobilisations-passees-en-cours-10-12/val-de-reuil/).

Nous voyons néanmoins ici l’entêtement du gouvernement à écraser par la force l’essor des mouvements écologistes, ainsi que les résistances qu’il ne parvient pas à canaliser face à l’exploitation économique. L’usage récurrent des moyens de l’anti-terrorisme pour diaboliser spécifiquement les mobilisations qui menacent les intérêts des lobbys industriels est frappant. Elle marque à quel point ce gouvernement leur est inféodé. L’expansion des moyens de surveillance débridée sur un large ensemble de militant.es est particulièrement inquiétante. La SDAT se met aujourd’hui de nouveau au service d’une des entreprises les plus toxiques du monde. Rappelons qu’en plus d’impacter la santé de ses employé.es, de bétonner les terres, d’être une source majeure de production de CO2 et de pollution de l’air, la multinationale Lafarge-Holcim est toujours poursuivie pour complicité de crime l’humanité et financement du terrorisme au vu et au su de l’État français.
Nous appelons à soutenir les personnes arrêtées et mises en cause aujourd’hui pour leur participation à la campagne nationale d’action contre Lafarge et le monde du béton.
Nous appelons à continuer à nous mobiliser pour défendre les terres et l’eau.
Déjà trois rassemblements de soutien sont organisés : à Rouen mardi à 18h devant le palais de justice ainsi qu’à Levallois-Perret devant les locaux de la SDAT et à Caen devant la préfecture. Mais, iels méritent d’être soutenu·es extrêmement largement. Organisons des rassemblements et des manifestations de soutien partout en France et dans le monde. Nous étions des milliers à participer à la campagne d’action de décembre, soyons encore plus nombreu·ses cette semaine.

Mercredi 10 avril Programme chargé…

Mercredi 10 avril, faites votre choix…
C’est que du bon !

19h30 au bar associatif l’Échappée Belle (8 rue Edouard Floquet) :
Conférence gesticulée autour des liens entre le capitalisme et les valeurs du sport : « CAPITALISME ET SPORT : JEU, SET ET MATCH » par Valentin Sansoneti.
C’est le 1er moment de la mobilisation à Angers contre les Jeux Olympiques et Paralympiques, dont le climax sera la semaine du samedi 25 mai (Maracron n°2) au vendredi 31 – semaine qui portera un contre-discours à cette absurdité climatique, sociale, économique. Diverses organisations et collectifs y prennent déjà part avec Solidaires 49.
Entrée libre et consommation soumise à adhésion (2€ minimum) à l’association de la Ruche de Belle Beille.

19h à la Bourse du travail :
SAINTE-SOLINE, AUTOPSIE D’UN CARNAGE
Invitation à se retrouver pour regarder ensemble le documentaire sur les événements de Sainte-Soline de l’année dernière et les mensonges gouvernementaux qui ont suivi. Réalisé par Reporterre, le média de l’écologie. Séance gratuite, deuxième rendez-vous du Ciné Club, 15 jours après la projection de « l’Amour et la Révolution », de Yannis Youlountas.